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contacter l'auteur envoyer à un ami 06 août 2017 la republique a la baguette la republique a la baguette « dans le rapport du national intelligence council américain, remis à chaque président nouvellement élu et rendu public en janvier 2017, les experts annoncent que « le risque de conflits interétatiques va augmenter dans les vingt prochaines années ». (christian makarian, « l’express » n°3448, du 2 au 8 août 2017) je lis dans l’express que selon la cia « le risque de conflits interétatiques va augmenter dans les vingt prochaines années » cause que les etats faibles i risquent toujours de s’effondrer finir dans les guerres civiles & les putschs & y a aussi que gouverner ce métier du politique ça va devenir d’plus en plus complexe car les gens i zen veulent de plus en plus des droits des libertés & des loisirs des richesses des conforts que pourtant faudrait plutôt se calmer rapport au réchauffement de tout qu’il y a tant de gens que ça va en faire ça le grand réchauffement des victimes et des misères pis y a le terrorisme & le retour du religieux à interdits çui-là qui punit de mort pour un dessin ou si on n’est pas d’accord avec l’ânerie de la terre plate (c’est bien connu qu’il y a plein d’vaisseaux & d’explorateurs qui valsent éternellement valsent dans l’espace parce que ah les imprudents i s’sont trop penchés au bord d’la plate terre et hop i zont basculés chutés en l’cosmos que les ricains i disent qu’i sont allés mais hein si ça se trouve i racontent que des carabistouilles mais moi je crois pas qu’la terre elle soye plate et j’y crois moi à la nasa voyez je préfère tout de même les ingénieurs d’la nasa aux éructants d’religiosités troubles je préfère mon curé sceptique au prédicateur catégorique) il y a les « vagues migratoires montantes » qu’ça pourrait vous faire grimper les partis d’extrême-droite & par contre-coup les partis d’extrême-gauche que ça en fera un drôle de bazar pas démocratique que notre bon vieux libéralisme tempéré va en prendre un coup dssus’tête pensante qu’ça sera le temps des assassins ceux qui ne croient qu’en travail famille & patrie et ceux qui ne croient qu’en la dictature du prolétariat déguisée bien entendu en vième république comment ne voient-ils pas les gens que cette dite « constituante » ne peut servir qu’les intérêts d’un seul parti lequel aurait très vite tous les pouvoirs & mènerait très vite la république à la baguette. patrice houzeau hondeghem, le 6 août 2017 posté par patricehouzeau à 09:37 - vers justifies - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : actualités , christian makarian , cia , du 2 au 8 août 2017 , fantaisies politiques , l'express n°3448 , politique , risques de conflits interétatiques , scepticisme , terre plate , vers justifies 16 juillet 2017 trois contrevers oÙ je sais pas trois contrevers oÙ je sais pas 1. « madame, je vous donne un oiseau pour estreine » (isaac de benserade, « sonnet ») madame je sais bien que vous avez de la barbe mais je vous appelle tout de même madame parce que ça me plaît. vous donne (contre l'indicible de l'être) vous donne un oiseau car c'est plus léger qu'un troupeau de gnous. un troupeau de gnous d'ailleurs ça chante pas tandis qu'un oiseau c'est joli coloré gazouillant pis ça tient compagnie hein pour estreine je vous offre ce zoziau, avec un « e » à estreine car je le sors d'un sonnet de benserade voilà. 2. « tournant les talons, ils s'engagèrent à travers le labyrinthe de glace, afin de contourner les troupes du smog. » (henri vernes, « opération chevalier noir ») tournant la tête je vis mes jambes s'en aller dans mon pantalon et les talons avec alors je dis oh et alors ? eh ! oh ! eh ! talons, où avez-vous mis vos achilles (ceux avec un gros nez) se seraient- ils en sérieux aventuriers (ou en pifs pour cyranos) transformés ? (cyrano, on dit qu'défois des inconscients l'appelaient sire-à-nez… bon après zavaient du mal à r'trouver tous leurs os.) s'engagèrent nos héros (c'est des aventuriers) a travers un fouillis d'arbres du genre complexifié travers ah tiens j'ai perdu mon à... ah le voilà À travers donc le labyrinthe (passque la cuisine c'est trop petit) zentendirent un blonk « labyrinthe pas bon » fit la cervelle d'un de nos héros et c'est pas de sa faute car quoique héros il avait la comprenette flagada. glace glace partout (zont quitté la jungle) afin d'arriver à la fin de c'mirliton faut bien qu'je jongle de glace fut le labyrinthe mais fallut un peu s'les geler afin d'esquiver contourner les ennemis (sont affreux zont même pas d'nez). les héros donc ils entrèrent dans le frigo où ils avalèrent troupes de cuisses de poulet et toute la salade de pommes de terre du crémeux camembert du noble gruyère de la tarte brave ne laissèrent rien smog smog smog fit fataliste la pipe de l'auteur ce vaurien. 3. « ah !… paris fuit, nocturne et quasi nébuleux ; le clair de lune coule aux pentes du toit bleu » (edmond rostand, « cyrano de bergerac », v. i,7 [cyrano]) ah je dis ah et je n'sais même pas pourquoi paris (j'y vais jamais c'est loin et y a trop d'monde quoi) fuit qu'ici fuit ça signifie qu'la ville file coton brumaire nocturne, s'estompe paris comme un vieux tableau avec limonaire. et c'est-y pas qu'il fuirait, paris, comme un voleur quasi mélo java ! ah paris tu m'as pris mon cœur ! nébuleux tout à coup paris qu'les néons ont des airs lointains le ciel est bleu de prusse comme si on l'avait peint clair de lune bien sûr sinon on n'y verrait rien de rien qu'ce s'rait comme quand on a perdu son chien lune lune lune pâle qu'on dirait un camembert qui coule sur la tartine des toits c'est-y pas beau dis aux pentes comme si c'était un toboggan aux pentes tu coules lune et tu t'gondoles sans piper mot du toit bleu qu'on y voit aussi du gris dans ce toit bleu qu'il est très gris et si bleu bleu hussard bleu criminel bleu carnavaleux. patrice houzeau hondeghem, le 16 juillet 2017. posté par patricehouzeau à 15:06 - contrevers - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : amuseries , amusettes , benserade , contrevers , drolatismes , edmond rostand , henri vernes , mirlitances , mirlitonneries , mirlitonnerres , mélancolismes , sottises , vers de mirliton 15 juillet 2017 comme si Ça voulait dire les mots comme si Ça voulait dire les mots 1. « telle la lune vue à travers des mâtures, telle la vieille mer sous le jeune soleil » (verlaine) lune, belle masque à énigmes, me fait songer à la donzelle lalala, funambule ! funambule ! là-haut… la lune vue, zieutée, reluquée, mais bah on lui voit pas la nuque puis l'a pas de jolie tresse brune lui descendant dans le cou. dans un vers à verlaine des mâtures ; c'est les navires des romans ; vont vers les vertigineuses aventures, hautes vagues, rivages lointains. défois la mer elle est tellement vieille que c'est pour ça qu'elle radote, ressasse, rumine comme une vieille vache. défois le soleil il est tellement jeune qu'il s'amuse comme un gamin à se cacher derrière les nuages ah le taquin. 2. « le ciel tout bleu, comme une haute tente » (verlaine) dessous le ciel tout bleu comme une haute tente moi je fumeuh j'attends ma tante qui fut mon oncle dins m'tiête y a un drôle d'oiseau qui fait klonk-klonkle. 3. « de tes soleils éteints, l'un l'autre se froissant...» (nerval) « de tes soleils éteints » - doivent êt' tout noirs les jardins - défois j'ai mal aux reins si j'étos pwéteux je diros j'ai mal an' d'dins mais je ne suis pas poéteux alors j'ai mal aux reins l'un l'autre se zavez remarqué comme toujours ça se ça l'un l'autre ah ça se pis froissant encor des cochoncetés dans le décor… 4. « les constellations fuir dans l'ouragan noir » (victor hugo) défois en troupeau gentil on regarde les constellations on s'épate oh fait-on et puis plein de questions sur les bolides que l'on voit fuir sur les soleils morts et lointains qu'on voit luire là-bas infiniment là-bas dans les ouragans qu'on pressent dans tout ce noir on va embêter albert lenoir qu'est astronome amateur même que stella qu'elle s'appelle sa sœur. 5. des fois je lis du victor hugo c'est beau coup d’œil à mon frigo et puis j'y go (d'agneau). 6. naumauxe c'est un mot dans une poésie de claude gauvreau naumauxe c'que ça veut dire qui sait-y ? comme si ça voulait dire les mots. quand on naumauxe, c'est toujours en smoking ; et on n'se moque, ce n's'rait pas bien ! non, on dédaigne, comme un king. 7. « il y a aussi un coucou en bois. je ne sais pourquoi il n'a plus de voix. je ne veux pas le lui demander. » (francis jammes, « la salle à manger ») il y a aussi un coucou j'aime bien les coucous dans les bois on les voit pas mais ils font coucou de qui se moquent-ils ces volatiles ? y a des coucous en bois aussi mais des fois zont plus d'voix c'est bête aussi même que francis (ah l'artiste lui aussi) il dit qu'i veut pas leur demander pourquoi il n'a plus de voix le joli coucou en bois y a des fois j'vous jure on s'demande de qui se moquent-ils ces volatiles ? 8. « où l'amour dilaté dans toute créature » (lamartine) défois l'amour l'est tout dilaté l'amour éparpillé l'tambour, à plus tard le toujours « dilaté » l'amour « dans toute créature » ça fait mystique j'préfère la confiture où l'amour dis il est où l'amoureuh chaipas que j'm'en ficheuh moi je suis sous le ciel bleu même que des fois il pleut. dans toute créature y en a qui disent qu'il y a une âme pis qu'il se dilate l'amuuure oh et puis j'ai pas la flamme de trouver une rime à âme. 9. « mots graves, mots sérieux, vous ne cachez qu'un leurre. j'ai abusé de vous, je ne vous comprends pas. » (alain bosquet, « des mots ») mots graves y en a i chouravent mots sérieux y en a zont des zieux vous ne cachez pour la toux qu'un leurre je voudrais un jambon-beurre. mots, j'ai abusé de vous, je vous ai joués au jeu de la vérité et, bien sûr, j'ai triché. des fois on en use beaucoup des mots graves des mots sérieux on dit des choses on cause morale et sens civique on cite machin on cite chose moi les mots je n'les comprends pas ça doit être pour ça que j'les prends plus au mot tous ces mots-là de l'immense blablabla. défois on dit des mots graves quand on n'est pas obligé, qu'on est con alors comme si déjà qu'on veillait not' mort défois on dit des mots graves défois on dit des mots sérieux ah c'est bête sans y être obligé de s'faire si vieux et d'ruminer sans cesse des scrogneugneux défois on dit des mots sérieux mots, vous ne cachez qu'un leurre ah faites-moi monter un demi et un jambon-beurre mots, j'ai abusé de vous je le regrette et dans mes salades j'ai mis trop de vinaigrette mots, je ne vous comprends pas je vois bien que vous mettez les pieds dans l'plat mais moi j'ai pas envie d'secouer les cocotiers et je laisse aux belles âmes leur pitié et leurs grands pieds. 10. « heureux qui, comme ulysse, a fait un beau voyage, ou comme cestuy là qui conquit la toison » (du bellay) heureux qui heureux qui ne se sent pas riquiqui pis comme ulysse ah tiens l'mérinos pisse a fait un beau voyage. moi j'en fais pas de beau voyage et puis y a cestuy là de qui qu'on parle là ? qui conquit quoi quel con qui ? la toison oh la la c'est vieux ça et j'ai oublié mes leçons. 11. « le morceau appelant mon cœur était le rouge » (pierre-jean jouve, « a une soie ») le morceau j'en mangerais bien un de morceau appelant quelque cuisse aussi du blanc de poulet mon cœur ah quel carnivore ! appelant yéti (c'est velu dit-on) des voix dans les choses qu'à mon cœur elles disent quelque chose sans que je voie lèvres remuer ? mon cœur ah goulafre j'en ai les yeux mordants car l'appelant c'était le rouge dans c'truc là où rien ne bouge vu qu'c'est d'la peinture. patrice houzeau hondeghem, le 15 juillet 2017. posté par patricehouzeau à 15:36 - brefs, chansons idiotes, amuse-gueules - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : amusettes , brefs , citations , drolatismes , faits et ris , fantaisies , flèches , gnomeries , humanité , ironies , jeux de mots , mélancolismes , néologie féroce , ouïlleries (de veau) , phrases , propositions , sonneries , sottises , traits , variétés notes sur l'actualitÉ en date du 15 juillet 2017 notes sur l'actualitÉ en date du 15 juillet 2017 1. jadis on disait que la france « n'avait pas d'ennemis ». maintenant, nous savons que si. ah c'est pas l'moment d'désarmer ! 2. le brexit aura eu au moins ce mérite que son échec donnera à réfléchir à toux ceux qui voudraient quitter l'union européenne. 3. on dit en 2017 que, lentement, la turquie glisse vers la dictature. et donc vers le coup d’État, ou les vertiges sanglants des révolutions. je crains la turquie d'erdogan. elle semble se constituer en un État de plus en plus islamiste et de plus en plus peuplé. est-il vrai que l'enseignement du darwinisme est abandonné en turquie ? si c'est le cas, vers quel moyen-âge glisse ce pays ? 4. si l'occident est si soucieux de la surpopulation mondiale, c'est que, sans oser nous l'avouer, nous craignons d'être un jour remplacés. 5. la gauche universaliste se trompe car elle ne fait que remplacer l'essentialisme chrétien par un essentialisme des vertus. que je le veuille ou non, je suis de la langue de mon patelin avant d'être de la langue du droit positif. est-il vrai que beaucoup d'enseignants ont voté mélenchon ? rêvent-ils vraiment de voir la france dirigée comme on dirige un lycée ? est-il vrai que beaucoup d'enseignants ont voté mélenchon ? ne comprennent-ils vraiment rien ou sont-ils si incurablement naïfs ? 6. commencent à m'agacer avec leurs sottises zens. c'est pas avec de la métaphysique pour bobos qu'on va relancer l'économie. depuis que les gens sont assez riches pour s'inventer des états d'âme et des métaphysiques, seigneur, qu'est-ce que ça blablablate ! 7. est-il vrai qu'en vertu du principe de précaution, dans certaines cantines scolaires, on fait acheter aux cuisiniers des produits industriels censés être plus sûrs que des produits frais ? est-il vrai qu'en cette année 2017, la restauration de collectivité française achète de plus en plus de poulets allemands ? 8. j'aime assez l'idée que le président américain incarne et inspire plus qu'il gouverne. j'y vois un signe de vitalité démocratique. patrice houzeau hondeghem, le 15 juillet 2017. posté par patricehouzeau à 11:52 - actualités - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : brexit , cantines scolaires , dictature , défense nationale , démocratie , mélenchon , politique , surpopulation , théorie du grand remplacement , turquie , usa 14 juillet 2017 poesie klonc (oh oui alors trÈs klonc) poesie klonc (oh oui alors trÈs klonc) « donc, ce sera par un clair jour d'été : le grand soleil, complice de ma joie, fera, parmi le satin et la soie, plus belle encor votre chère beauté » (verlaine) donc et comme donc rime avec klonc ce sera par un grand klonc un clair et grand klonc d'été je serai sous le grand soleil qui r'semblera à un grand eye égyptien (il me manque qu'il est mort mon chien) et pis complice le soleil complice sur les plages y en a qui ont la peau lisse mais d'aut's zont la peau qui plisse de ma joie complice dis de ma joie tu crois-toi que j'suis en joie que j'ronge mes osses pis qu'j'aboie ouah ouah ouah dès que dans un miroir j'me vois je récapitule : donc je serai sous le grand soleil qui fera - tout ça illuminati et compagnie c'est, qu'on parle du soleil et tiens v'là ra qui se ra- mène comme para- zard balthazar (melchior et paulus j'ai oublié le blaze du troisième gus) - parmi le satin faut que j'pense à acheter du pain et la soie et aussi de la gelée de framboi- se plus belle faut que j'pense à sortir les poubelles encor (au pied) et pis depuis qu'il est mort mon chien je pense à sa chère et bonne tête de toutou mais voilà l'est maintenant sous terre et pis c'est tout. patrice houzeau hondeghem, le 14 juillet 2017 posté par patricehouzeau à 20:14 - fantaisies - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : fantaisie 13 juillet 2017 une gestion des gouffres une gestion des gouffres 1. « ces gens voudraient bien, s'ils pouvaient, se soustraire à l'empire de dieu, dont le gouvernement est monarchique. » (hobbes traduit par samuel sorbière, « le citoyen », x,4) je pense à jeanne d'arc, qui tant nous hante encore qu'on en appelle à sa légende et qu'on n'aime guère entendre traiter de folle. je pense à jeanne d'arc et à son « roi du ciel ». nous préférons la vertu des pierres à l'empire des anges. c'est ainsi que nous bâtissons. en ce début de xxième siècle, l'humain solde dans le sang ses comptes avec l'absolu. ensuite, il se débattra avec l'espace. 2. « car il est trop tard, si même il n'est impossible, de lever des soldats et d'apprêter des armes, après que l'on a reçu quelque défaite. » (hobbes, « le citoyen », xiii,8) les victoires tardives, des charniers les précèdent. ni l'âne charabia ni le diplômé perlimpinpin ne détiennent les clefs de la foudre. némésis qui venge et thémis qui juge, le temps les rattrape. dans la balance, on mêle aux yeux et aux poignards des poids sans garantie. quand plus rien ne semble faire son poids, des généraux défendent la baudruche et l'on voit passer les sages par la fenêtre. 3. « car il n'y a personne si stupide, qui ne s'estime assez capable de se conduire, et qui aime mieux se laisser gouverner à quelque autre. » (hobbes, « le citoyen », ii,13) dans chacune des têtes de cette foule qui se presse aux marches du palais, cette citadelle inexpugnable que l'on appelle le libre-arbitre. des mots portent dans les têtes les fondations de ces citadelles hantées par le fantôme de la liberté. les trottoirs regorgent de briques. le but du jeu est de capter, fasciner ce fantôme à la fenêtre, le convaincre de se sacrifier à la communauté des nécessités. nous préférons nous tromper librement plutôt que d'être contraints à la raison. notre orgueil nous perdra superbement, mais définitivement. la politique est une gestion des gouffres, dont certains sont très noirs et font des rêves de gouffres, des rêves d'engloutissement. il n'y a pas réellement de troupeaux de gouffres. chacun dans le même parti cherchant toujours à être plus gouffre que son voisin. si l'asie est l'atelier du monde, l'afrique en est sa corne d'abondance. nous ne pillons pas l'asie. nos fantômes sont des puzzles : les yeux de lauren bacall, les cheveux de marilyn, la moustache de groucho marx. 4. « car, c'est à la tête de donner conseil et à l'âme de commander. » (hobbes, « le citoyen », vi, 19) ce que les électeurs espèrent : une âme forte incarnant l'esprit de la nation et un gouvernement intelligent de têtes bien faites. patrice houzeau hondeghem, le 13 juillet 2017. posté par patricehouzeau à 20:18 - fantaisies ii - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : brefs , citations , considérations , défense , fantaisies spéculatives , géopolitique , hobbes , humanité , jupiter , liberté , libre-arbitre , phrases , politique , propositions , souveraineté , tête et âme , variétés , « le citoyen » et que faisait la mer et que faisait la mer 1. « et que faisait la mer ? - imbécile, têtue elle ouvrait et fermait des portes pour personne. » (jean tardieu) « et que faisait la mer ? » - elle posait pour des peintre du japon, faisait la vague et la nouvelle vague et bleu têtu, faisait sa marine. défois zut elle a une mule dins s'tiête dont elle fait sa mauvaise, pis comme la marine à tardieu, elle ouvre des portes, mais pour personne. défois on ouvre et on ferme des portes qu'on croit qu'y a personne mais dans l'entre-porte s'insinuent d'imperceptibles changements. 2. « l'idée de l'infini se ferme sur elle-même. » (lucien suel, « canal mémoire », marais du livre editions, 2004, p.105) une fois bien fermée sur elle-même, le dieu des archives la range dans une petite boîte et la place sur l'étagère des idées de l'infini. que l'univers serait infiniment constitué d'infinis se fermant sur eux-mêmes, infiniment de cercles façon ronds dans l'eau. alors le dieu d'alors se suicida et ça fit big et bang et sa cervelle en expansion quitta un infini pour un autre. 3. « qu'en dis-tu, voyageur, des pays et des gares ? » (verlaine) quand dis-tu ? hein tout de suite hein, voyageur (exquise est-elle passant par là que je dis ça mais on s'en fout). « voyageur » ça veut dire qu'on va voir ailleurs ce qu'on n'voit pas chez soi mais pas tout le monde voyage. faut l'envie. j'ai pas. défois y en a c'est professionnel et c'est tout à fait sérieusement qu'ils vont loustiquer, s'crever ou s'enquiquiner à l'étranger. les voyageurs, souvent i traversent des pays et des gares (au gorille – mais ça c'est surtout dans les vieux films d'espionnage) ou alors si le gorille à brassens s'est échappé d'la chanson et vous poursuit dans des gares, mais j'y crois pas trop. 4. « la royauté a ceci d'incommode en l'opinion de diverses personnes, que la crainte de la mort y est continuelle » (hobbes traduit par samuel sorbière, "le citoyen") certes, nous ne craignons plus les absolus et la foudre à écailles ; cependant nous restons soucieux des vivariums. il est des palais de république où l'on manie le serpent comme le jeteur des jadis broussailleux maudit les mots. parfois, au nom d'un truqueur de paroles, d'un politique pilleur d'écritures, des ombres assassines posent des silences et des nœuds. 5. « là où il n'y a point de république, il n'y a point de propriété. » (hobbes, « le léviathan ») le tigre ne collectionne pas. nul musée chez nos chats. seuls, nous évoquons la femme du gardien de zoo et les masques de cérémonie. dans l'incendie, sauver le rembrandt ou sauver le chat se demandait malraux. parlons franc, seul un saint ou un fou renoncerait au trésor. nous avons inventé les pronoms possessifs pour nous donner le droit à l'illusion de la maîtrise. et c'est dans cette illusion que nous déplaçons nos rois, nos reines, nos fous, nos pions. 6. parole trop claire se perd dans le jeu de cartes. seul le sphinx caché, seule la vipère beauté peuvent trouer le temps. nous ne pouvons pas toujours manier les mots comme s'il s'agissait d'osselets. malgré nous, nous jetons des sorts et jouons du serpent. patrice houzeau hondeghem, le 13 juillet 2017. posté par patricehouzeau à 09:56 - fantaisies ii - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : amusettes , brefs , citations , drolatismes , faits et ris , fantaisies , flèches , humanité , ironies , jeux de mots , mélancolismes , néologie féroce , ouïlleries (de veau) , phrases , politique , propositions , sonneries , sottises , traits , variétés 12 juillet 2017 gnomeries zozielleries aussi gnomeries zozielleries aussi 1. « désormais foulant ce morne pays nommé moi-même » (louis-rené des forêts, « les mégères de la mer ») désormais les ors de mai ne me troublent plus que j'vas foulant – et c'est vrai que je suis bizarre défois et peu véloce hein ? ce mort ne paye pas de mine i morne ce mort... même pas du pays c'est un mort lugubre et étranger il ne paye i l'est pas nommé il anonyme. moi mou ? ah… oui et même je fonds du gruyère avec tous ses trous dans m'tête. 2. « son visage est offert à la lecture des spectateurs » (roland barthes) son évidemment je pense au son du cor c'est fatal comme un féroce corset visage vise ah je vise ah j'vas faire mouche ! il est adroit défois au tir. offert aux fers évidemment t'avais qu'à pas l'ouvrir a l'ombre au sombre à la noirceur cloporte à la cruelle lecture il l'est qu'torture. des spectres des spectateurs des spéculatifs, dépêche-toi espère, ah si tu crois qu'ils te veulent du bien, tous ces spéciaux spécimens peuplant l'espace. 3. « les trésors qu'on a enterrés sont rarement récupérables, car ça voyage sous terre, c'est bien connu. » (entendu à la radio) phrase dont l'intérêt et l'ironie reposent sur l'accent porté sur le « ça » et sur l’équivoque de son référent. « les trésors qu'on a enterrés » : entendu ça dans une émission sur céline comme quoi l'avait enterré de l'or façon pirate céline. « sont rarement récupérables » que céline il l'a pas retrouvé son enterré trésor, que les mains d'l'invisible l'auraient fauché faut croire. céline, dans cette histoire de trésor enterré, l'aurait été quoi fantômanipulé ou alors tout légendé mystère, brouillé les cartes chaipas. « car ça voyage » qu'le monde grouille de ça sur pattes voyageurs circulants voyeurs zadmirants mirants pis qui s'atteignent tous ces ça. « sous terre, c'est bien connu » qu'ça circule : y a des galeries, des souterrains avec des gnomes dedans, les gnomes aux illuminachoses là. les gnomes de sous terre c'est bien connu, zont des capuches pis des haches pis i chuintent et i font des choses secrètes sur youtube. les gnomes de sous terre c'est bien connu, zont chourave le trésor à céline, sont riches – d'ailleurs zachètent le réel. 4. « il est probable que nous comprenons mieux les oiseaux depuis que nous fabriquons des aéroplanes. » (francis ponge, « notes prises pour un oiseau ») quand on dit « il est probable » c'est que kekechoz pourrait arriver qu'on en est sûr que, mais défois le diable se pointe et embrouille tout. quand le diable se pointe pis qu'il embrouille tout, une horloge n'y retrouverait pas ses aiguilles dans tout ce foin qu'ça fait là le réel. « que nous comprenions mieux » : j'suis pas sûr mais y en a (c'est des sachants – y en a même qui savent ! -) i disent que oui alors. les oiseaux ça jacasse ça gazouille c'est pour ça qu'on écrit aussi par plaisanterie les zoziaux les zolis zoziaux gazouilli-gazouillants. du coup que j'pense aux zolis zoziaux gazouilli-gazouillants là, j'pense à zut, qu'elle est zolie aussi pis qui merle moque et siffle. « depuis que nous fabriquons des aéroplanes », eh bien quoi, on fait voler des ânes. 5. je ris parfois de ce que je ne comprends pas car ce que je ne comprends pas me semble parfois absurde et plus ce que je ne comprends pas me semble absurde, plus je trouve absurde l'idée de le comprendre, et plus je ris. patrice houzeau hondeghem, le 12 juillet 2017. posté par patricehouzeau à 10:29 - brefs, chansons idiotes, amuse-gueules - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : amusettes , brefs , citations , drolatismes , faits et ris , fantaisies , flèches , humanité , ironies , jeux de mots , mélancolismes , néologie féroce , ouïlleries (de veau) , phrases , politique , propositions , sonneries , sottises , traits , variétés 11 juillet 2017 vous pourriez me prÊter votre tÊte vous pourriez me prÊter votre tÊte « vous pourriez me prêter votre tête, je suis invité à un bal masqué... » (hugo pratt, « les ethiopiques » [lord haw-haw]) 1. au fond, nous élisons des illusionnistes qui de leur chapeau ne sortent pas des lapins, mais des os d'poulet qu'ils nous balancent à ronger. même que des fois on s'blesse avec ; même que des fois, ça tue nos chiens. 2. jadis, france culture, le dimanche après-midi, c'était les chouettes pièces du répertoire jouées par la comédie-française. c'était bien. 3. « est-ce aux chocs de mon cœur que j'entends ces orages ? » (jean tardieu, « les épaves reconnues ») est-ce lettres j'suis point docteur aux études ne fut point fort mais le vers à tardieu parle de chocs et pas d'ma pomme mais de la façon qu'au cœur on est touché mon (de ah c'est un monde savez) oh mon cœur que j'entends ah quel inconnu ! que j'entends choquer là j'entends ces (qu'a donc fait jean?) ces ors, ô césar, je les entends bruire, et les orages aussi ah seigneur, qu'est-ce que ça drache ! 4. « mon rire ne sait plus quel refus le soulève. » (pierre oster) et comme dans le vers à oster, ne serait-on plus que masques grimariants grimacriants grimaciriants et ignorant leur source ? 5. « donner un sens à l'énigme du non-sens ? » (louis-rené des forêts, « poèmes de samuel wood ») distributeur de sens, crache-sens, aboule-sens, fourgue tandis qu'à laine i gneume qui c'est-y qui gneume ? le nonce hans pardi ! le verbe « gneumer » désigne le cri des hennies (des absurdes comme vous et moi). les hennies ne hennissent pas, les hennies gneument. pulls et vestes de laine fascinent les hennies. zan voient passer, s'en approchent ; on dit qu'ils vont « à laine » ; i gneument fort alors. et dire que quand tout aura disparu, on ne pourra même pas se dire quoi ! tout ça pour ça ? dès qu'on le qualifie « d'énigme », le « non-sens » se pare de sens. c'est que la fonction essentielle du langage est d'infiniment produire du sens, jusqu'à l'absurde, jusqu'à l'énigme, jusqu'au non-sens. 6. comme il avait le nez au plafond, il en profita pour se moucher. 7. défois j'y pense qu'y aurait chaipaquoi entre le je et l'infini pis que l'infini creuserait son trou sans fond dans le je où y-a-un-truc-qui. 8. rien n'ayant de sens, l'humain s'en est trouvé plein ses bibliothèques, du sens. bah, ça lui passe l'éternité. 9. je grimace. la nuit ne répond pas. la nuit c'est une sans bouche. 10. je n'ai pas raison. ma cervelle flotte dans la chambre noire. 11. qui veille sur nous ? personne. nous y sommes très attachés. 12. sa main tremble. il a bu tout son jadis. sa mémoire, un puzzle troué d'partout. 13. j'aime le mot gorgone : des mosaïques dans un dédale, la longue vibration d'un gong ; un chien grogne. j'aime le mot gorgone : un adolescent clamant du grec ancien dans un film de fellini, des rites cruels et fondateurs dit-on. j'aime le mot gorgone : souvenir d'heures de cours en automne et des arbres de la cour aux feuillages bruissants, cassandre. j'aime le mot gorgone : syllabes que je mêlais au vent sifflant à travers la permanence calme et entêtée du collège. 14. le monde est un perpétuel sauve-qui-peut hanté par les habits des gentilshommes du siècle des lumières. 15. des yeux nous ferment. des mains nous portent en terre. morts, nous devenons radicalement l'affaire des autres. 16. les politiques, des serpents qui nous font avaler des couleuvres. 17. les géants avaient des dragons de poche, dont ils se servaient pour allumer leurs clopes, dont la nuit, patiemment, nous dressions la carte. 18. le passé, c'est ce que nous y mettons, un miroir où nous ne voyons guère que ce que nous voulons y voir. 19. il paraît que les chardonnerets disparaissent. trop nombreux qu'on est. va falloir faire de la place. et ce s'ra pas beau. sinon, si vous êtes naïf, vous pouvez toujours croire à la communauté vertueuse et partageuse des vivants. remarquez que la fable de la communauté vertueuse et partageuse des vivants, y a des politiques qui font leur beurre avec. et à mon avis, si vous élisez ce genre de bon apôtre de la vertu et du partage, vous vous préparez pas aut' chose que d'la dictature. 20. je mange une sardine. c'est de l'ailleurs en boîte que j'avale. le réel est une affaire de traiteur. patrice houzeau hondeghem, le 11 juillet 2017. posté par patricehouzeau à 13:17 - brefs, chansons idiotes, amuse-gueules - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : amusettes , brefs , citations , drolatismes , faits et ris , fantaisies , flèches , humanité , ironies , jeux de mots , mélancolismes , néologie féroce , ouïlleries (de veau) , phrases , politique , propositions , sonneries , sottises , traits , variétés 10 juillet 2017 ouÏlleries ouÏlleries 1. quand la nuit tombe on entend ouïlle ! mais pour ne pas froisser l'orgueil de la nuit, dans les romans, on la passe sous silence. 2. quand j'entends jacter jacques attali ou michel serres, j'ai envie d'écouter du richard gotainer. au vol sur france inter : « j'aime les chimpanzés et je respecte les hommes et les femmes politiques » : uh uh ! 3. est-il vrai que malgré un chômage qui monte et monte encore, un grand nombre d'emplois, faute de personnel qualifié, restent non pourvus ? inquiétude : malgré la multiplication des formations et la massification de l'enseignement supérieur, le chômage continue de monter. et si l'argent dépensé en formations inutiles et en pseudo-qualifications dans le supérieur était mieux utilisé ailleurs ? - dans l'apprentissage par exemple. 4. « ces volets agités par le vent, cette pluie sur les feuilles, ce mur sans drame, cet oiseau ? » (jean tardieu, « jour nuit soleil et arbres », i) défois le vent agite les veaux pas trop jolis et les beaux vignobles. et puisqu'il pleut, les feux, i yeulent et vertement ! le mursang c'est un drame ! à la place du sang, il est plein d'briques : du coup, il a pas d'vie. aussi on se demande ce qu'il y a derrière. c'est toi ? - zo ! elle me répondit zut puis en remuant fort les volets et sa bouteille de vin, elle rentra ivre comme un ange en cavale. 5. chuis pas macron et macron n'est point moi. Ça me suffit pour que je le regarde de haut et d'mon air « bon t'es qui toi ? ». chaipas trop pourquoi, mais je sens que se passer d'essence, ça risque de nous compliquer méchamment not' géopolitique. j'ai comme l'impression qu'avec son abolition de la taxe d'habitation, macron veut contraindre les municipalités à faire des économies. 6. « une femme s'appuie contre un arbre, sa chevelure noire flotte dans l'air. » (pentti holappa traduit par gabriel rebourcet) ce vers ça fait comme si sa chevelure à la femme c'était un tout black calamar qui monte de sa tête pour grimper à l'arbre. 7. « autour de notre maison, il n'y avait rien que la neige. » (daniel fano, « la nostalgie du classique ») autour de notre mai, zont dit qu'il n'y avait rien rien rien que l'année, je me suis dit qu'il n'y en avait pas d'autres, une à la fois. 8. « secouez le sorcier qui est en vous-même » (jacques jouet) ce cou c'est le sort scié, ça c'est quand on prend une scie et qu'on scie le sort, lequel alors se troue, vent vous-même, espèce de tranché. qu'un sort scié fasse des trous ne m'étonne pas : c'est par là qu'il s'échappe, bien sûr le sort, pour échapper à la scie… 9. « son regard périlleusement doux qui vint me cueillir » (louis-rené des forêts, « les mégères de la mer ») gare de sonre (en quelque contrée nasale) ele périt mès yeusement, yeusement (ça fi ni p ni pli) douquit & revint se moquant & me cueillant. le verbe « douquir » signifie qu'on revient de la périllée, où l'on est tout péri, mais défois on en revient (en tout cas, selon le verbe). « yeusement » ça signifie pareil que « heureusement » mais défois j'ai pas de h sous la main alors les yeuses bin elles poussent. 10. ah tiens encore un ex-gauche-prolétarienne (pouah) devenu intellectuel pour france culture (y a pas d'sot métier). ah les ex-gauchistes de bon ton qui ont allégrement transformé l'université en passoire à cerfs-volants. 11. « en attendant je plongerai dans la terre vers son squelette » (anise koltz, « le jour inventé ») zut elle dit souvent ah sque l'êt' est fragile alors i fait vite le grand plomb qui saute dans le jonchant i plouffe et gouffre. 12. « naumauxe la zébrure colifichet animarante le sein de diane » (claude gauvreau, « naumauxe ») zut défois elle naumauxe itou elle peuzèle le lexique qu'sa cafetière bout d'bouts d'dictionnerffes elle pète sa gueule à la langue. zut elle pète sa gueule de premier d'la classe à la langue des bons romans et des sérieusement poètes zut elle déchire. l'ai déjà dit, le redis : robert charlebois a excellemment interprété un texte de claude gauvreau sous le titre « trop belle pour mourir ». 13. « when i woke up this morning i was feelin' fine but this cat starts banging man what a swine. » (captain sensible, « wot ») vu sur le net : « mais ce chat se met à cogner mon homme quel salaud » : tellement bizarre, cette traduction, que ça en devient surréaliste. on dirait une traduction de traducteur automatique : si c'est le cas, visiblement c'est pas au point. 14. en vertu de tout ce que l'individu est prêt à inventer pour s'enrichir, je ne vois pas qu'il y ait d'alternative économique au capitalisme. ou alors on accepte la « pauvreté » et la « vertu » comme « ciment de l'humanité » : ce qui est aussi une manière de définir la dictature. entendu jean-claude milner évoquer (j'crois pas qu'il soit pour) cette « pauvreté » et cette « vertu » « ciment de l'humanité » : ça fait peur. je ne doute pas que certains furieux écologistes décroissants ne rêvent que de partage dans le strict nécessaire et la « vertu naturelle ». patrice houzeau hondeghem, le 10 juillet 2017. posté par patricehouzeau à 18:22 - brefs, chansons idiotes, amuse-gueules - commentaires [0] - permalien [ # ] tags : amusettes , brefs , citations , drolatismes , faits et ris , fantaisies , flèches , humanité , ironies , jean-claude milner , jeux de mots , mélancolismes , néologie féroce , phrases , politique , propositions , sonneries , sottises , traits , variétés 1 2 3 4 5 6 7 8 9 > >> 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 200 300 notes et commentaires de quelques pages célèbres (ou non!), coups de plume et fantaisies diverses... accueil du blog recommander ce blog créer un blog avec canalblog « mars 2018 dim lun mar mer jeu ven sam 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 liens a noir e blanc (lucien et josiane suel) amis bigourdans de la poesie naÏve anaximandrake aubes vives (l'essentielle chris) biblioweb black napkins bloc-notes de philippe meirieu blog en zebrures (nicolas vasse) bui dui dan chronicae bruxellensis danger poesie drummerworld ecrit(s) du nord edith soonkindt harmonie d'une vie ou pensées qui se suivent... huggyhome in memoriam indymedia paris ile-de-france instant decisif introduction à l'astronomie karma-world kitab la republique des livres la zone - 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